Egy Csokonai-vers keletkezéstörténetéhez : A reményhez
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Absztrakt
Le fait que le rhythme de ce poéme peut étre rapproché ä celui des chants „kuruc" (insurgés á l'époque de la guerre d'indépendance de Francois II Rákóczi, au tournant du 17e et du 18e siécles) est depuis longtemps connu par les historiens de la littérature hongroise. L'auteur analyse d'abord les poésies de Csokonai rappelant le rhythme de „Rákóczi-nóta", puis s'occupe des chants funébres calvinistes, ainsi que d'une des poésies les plus connues de Pál Ányos. Bien sue ce poéme de Csokonai ne sóit pas un hymne national — contrairement ä la théorie de Géza Juhász — l'auteur croit pouvoir décerner dans le rhytme du poéme le ton de l'amertume nationale des „kuruc". II ajoute en mérne temps d'autres considerations ä son analyse: il y a une affinité entre le rhytme „kolomeika" de la plupart des chants „kuruc7 ", entre la culture musicale la'ique des étudiants hongrois du 18e siécle et enfin entre le style „verbunkos" en formation ä l'époque. En se basant sur tout cela, il compare le texte du poéme de Csokonai ä l'air du „Lassu Magyar" de József Kossovits, un des représentants de ce nouveau style, air qui est un element de la genese du poéme analyse. Finalement, l'auteur constate que la structure complexe de ce poéme remonte ä la forme „Reprizenbar" (une structure strophique trés connue), bien que le poéme de Csokonai corresponde, dans ses strophes, aux „durchkomponierte Lieder" de l'époque rococo.
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Hogyan kell idézni
Csetri, L. (1973). Egy Csokonai-vers keletkezéstörténetéhez : A reményhez. Acta Historiae Litterarum Hungaricarum, 13, 21–32. Elérés forrás https://iskolakultura.hu/index.php/ahlithun/article/view/22474
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